Texte très intéressant à analyser.
L’Évangile dans les étoiles
Par J. R. Church – le 17 Juillet 2011
Longtemps avant que les hommes ne
pervertissent le message des constellations et n’établissent les
anciennes idolâtries, Dieu a nommé les étoiles et les a mis dans les
cieux comme des signes :
« Et Dieu dit : Qu’il y ait des
luminaires dans l’étendue du ciel, pour séparer le jour d’avec la nuit ;
Que ce soient des signes pour marquer les époques, les jours et les
années. » (Genèse 1:14).
Le livre de Job remonte à avant les
Écritures de la Genèse. Bien qu’il fasse partie de la Bible, il raconte
l’histoire d’un homme qui vivait avant Moïse. Job n’avait aucune Bible
écrite. La Bible que cet ancien pèlerin lisait consistait en une série
de constellations qui apparaissait dans le ciel de la nuit.
Il y a des références à ces
constellations dans le livre de Job, avec une explication sur les
raisons pour lesquelles elles apparaissent comme elles le font dans les
cieux. Job 26 nous dit que le « serpent fuyard » est un des principaux
caractères de Dieu dans ce drame des âges et que ces constellations, ces
«colonnes du ciel», forment les « parties » des « voies » de Dieu :
« Les colonnes du ciel s’ébranlent, et s’étonnent à sa menace. »
« Son souffle donne au ciel la sérénité, sa main transperce le serpent fuyard. »
« Ce sont là les bords de ses voies….. » (Job 26:11,13-14)
« Son souffle donne au ciel la sérénité, sa main transperce le serpent fuyard. »
« Ce sont là les bords de ses voies….. » (Job 26:11,13-14)
Ces versets expliquent que les
constellations ont été conçues pour enseigner aux premiers hommes le
plan de rédemption de Dieu. Dans les écrits de ses cinq livres célèbres,
Moïse fait remarquer que le soleil, la lune, les planètes et les
étoiles ont été donnés comme des «signes». (Genèse 1:14)
Dans L’Évangile dans les étoiles,
Joseph Seiss écrivait : « Durant des siècles, tout ce domaine a été
presque entièrement laissé à une astrologie superstitieuse et idolâtre,
qui a souillé une science noble et divine et a causé des dommages
incommensurables aux âmes des hommes. Mais, nous trouvons ici qu’il
semble être un domaine sacré exposé par Dieu dans l’intention originale
de la Création elle-même. »
Cicéron, en traduisant le compte-rendu
des constellations par Aratus, déclarait : « Les signes sont mesurés
pour que, dans maintes descriptions, la sagesse divine pourrait
apparaître. »
Le Dr Adam Clarke disait des anciens
Egyptiens, « Ils tenaient les étoiles comme étant des symboles des
choses sacrées. » Il est bien connu que « l’astronomie était l’âme du
système religieux égyptien. Il en était également de même pour les
Chaldéens et les Assyriens. »
Albert Barnes avait déjà écrit : « Il ne
fait aucun doute que Job se réfère ici à des constellations » et que «
le sens du passage, c’est que la grandeur et la gloire de Dieu sont vus
en formant les belles et glorieuses constellations qui ornent le ciel ».
Les constellations étaient connues et
étudiées déjà par les premières civilisations connues. Le Sphinx qui
garde la Grande Pyramide de Gizeh, avec une tête de femme et un corps de
lion, témoigne de l’existence dès la connaissance ancienne des
constellations. Le zodiaque fait partie de toutes les anciennes
cultures : Les Romains, les Grecs, les Babyloniens et les Égyptiens.
Pourtant, avant toutes ces cultures, Job a confirmé que Dieu avait garni
les cieux de « colonnes », y compris le « serpent fuyard » et qu’elles
représentent les « parties de ses voies ».
Les caractères dans le drame
Le «serpent» mentionné dans Job 26:13
est un des principaux caractères notés dans le Mazzaroth (Zodiac) de
Job. Les différentes constellations auxquelles se réfèrent le serpent
sont les suivants :
Draco – Un dragon enroulé autour de l’étoile polaire et dont la queue couvre un tiers du cercle des cieux.
Cetus – Le Léviathan ou le dragon des mers.
Scorpion – La graine du serpent.
Hydra – Le dragon à plusieurs têtes, dont la queue couvre également un tiers du chemin écliptique du soleil.
Le terme hébreu utilisé pour «fuyard»
désigne en fait un serpent en « fuite ». Parmi les diverses
personnalités du serpent dans le zodiaque, Hydra est le seul observé
essayant de s’éloigner du lion, qui se jette sur sa tête, l’oiseau qui
mange sa chair et le bol de la colère étant déversé sur lui. Par
conséquent, Hydra semble être le « serpent fuyard » visé dans les plus
anciens livres de l’Ancien Testament.
Job connaissait l’histoire que Dieu
avait placée dans les étoiles. C’est l’histoire du conflit entre la
semence de la femme (Vierge) et le Scorpion, la semence du serpent. Le
fils de la Vierge n’est rien d’autre que le Fils de Dieu, tandis que le
Scorpion désigne l’Antéchrist.
Le Christ est représenté dans les
constellations de diverses manières. Les premières et dernières
constellations racontent l’histoire du Sauveur. Ce sont la Vierge, qui
porte le Fils de Dieu et le Lion, le Lion Conquérant qui vient détruire
Hydra, le dragon à plusieurs têtes. L’histoire commence à Bethléem et se
termine avec le Roi des rois revenant pour conquérir le serpent ancien
qui a amené tellement de ruines à la race humaine.
Job ne donne pas un compte-rendu
détaillé du zodiaque, mais il mentionne brièvement ces constellations
qui traitent du jugement dernier. On le questionne à propos de
certains objets dans la constellation du Taureau. Il est assez
remarquable que la conversation arrive sur cette série particulière
d’étoiles et de certaines pièces sidérales dans le Taureau parce que
c’est la constellation qui porte sur le « Jour du Seigneur ». Notez que
Dieu se réfère à un groupe d’étoiles appelé les Pléiades et la
constellation d’Orion, se retrouvant toutes dans et autour du Taureau.
Alors, Job se réfère à la Grande Ourse :
« Seul, il étend les cieux, il marche sur les hauteurs de la mer. »
« Il a créé la Grande Ourse, l’Orion et les Pléiades, et les étoiles des régions australes. »
« Il fait des choses grandes et insondables, des merveilles sans nombre. » (Job 9:8-10)
« Il fait des choses grandes et insondables, des merveilles sans nombre. » (Job 9:8-10)
Avant de les examiner, voyons un autre
passage qui traite de ces mêmes constellations. Notez que l’ancienne
carte des étoiles est appelée par son terme hébreu « Mazzaroth », plutôt
qu’actuellement Zodiaque :
« Noues-tu les liens des Pléiades, où détaches-tu les cordages de l’Orion ? »
« Fais-tu paraître en leur temps les signes du zodiaque, et conduis-tu la Grande Ourse avec ses petits ? »
« Connais-tu les lois du ciel ? Règles-tu son pouvoir sur la terre. ? » (Job 38:31-33)
« Fais-tu paraître en leur temps les signes du zodiaque, et conduis-tu la Grande Ourse avec ses petits ? »
« Connais-tu les lois du ciel ? Règles-tu son pouvoir sur la terre. ? » (Job 38:31-33)
Ceci est une puissante déclaration qui
relie les quatre dernières constellations avec un temps futur désigné
pendant lequel la puissante Orion revient pour juger le monde, comme vu
dans les quatre dernières constellations du Taureau, des Gémeaux, du
Cancer et du Lion. Ce sont les « ordonnances du ciel » que, évidemment,
Job ne comprenait pas.
Les sept étoiles des Pléiades peuvent
être une référence aux sept églises d’Asie. Dans l’antique mythologie
grecque, les Pléiades étaient sept sœurs aimées par Orion. Leurs
positions astronomiques entre elles sont similaires à divers endroits
des sept villes de l’Asie antique. Les « liens » peuvent être une
référence à l’impact que le christianisme a eu sur le monde au cours des
deux derniers millénaires.
Les « bandes d’Orion » se réfèrent à la
ceinture puissante dont il est invinciblement ceint, dont les bandes ne
peuvent être libérées. Dans la mythologie corrompue des Grecs, Orion
marchait sur l’eau ; Avant été piqué au talon par le Scorpion ; Avait
préparé un lac de feu pour le dieu du feu ; Et par amour pour la jeune
des Pléiades, avait débarrassé la terre de toutes les bêtes nocives.
Bien que corrompu, le message d’origine est évident. Le Christ démontre
tous les attributs d’Orion.
Le Taureau, représenté dans le ciel
comme un taureau enragé, signifie « le juge à venir ». Il y a un siècle,
Joseph Seiss a intitulé son chapitre sur le Taureau comme « Le Jour du
Seigneur ». Les douze principales constellations, en commençant avec la
Vierge et se terminant par le Lion, sont divisées en trois groupes de
quatre constellations chacun. Les quatre premières, la Vierge, la
Balance, le Scorpion et le Sagittaire représentent le premier avènement
du Christ. Les quatre suivants, le Capricorne, le Verseau, les Poissons
et le Bélier racontent l’histoire de l’Âge de l’Église. Les quatre
dernières, le Taureau, les Gémeaux, le Cancer et le Lion racontent du
Second Avènement du Christ.
Cependant, comme Job, nous devons admettre notre ignorance quand s’agit de la question que Dieu a posée au pèlerin antique : « Connais-tu les lois du ciel ? Règles-tu son pouvoir sur la terre ? » (Job 38:33) Nous ne pouvons que spéculer. Nous ne connaissons que très peu de choses sur ces « lois du ciel».
La vision biblique des Constellations
David a écrit : « Les cieux
racontent la gloire de Dieu, et l’étendue manifeste l’œuvre de ses
mains. Le jour en instruit un autre jour, la nuit en donne connaissance à
une autre nuit. » Evidemment, il y a un message dans les cieux que nous devons comprendre.
Pendant des siècles, les astrologues ont
pronostiqué l’avenir, en utilisant le zodiaque et ses séries de
planètes, d’étoiles et de constellations. Où ont-ils pris l’idée d’une
telle chose ? Qu’est-ce que l’astrologie ? Et, quel rapport y a-t-il de
possible avec la Bible ?
On nous rappelle que l’astrologie est
une religion méchante et perverse. C’était l’idolâtrie de l’Ancien
Testament et devrait à juste titre être considérée comme satanique.
Longtemps avant le développement de l’astrologie, cependant, il y avait
une ancienne astronomie qui traitait d’autres messages tout à fait
différents. Les étudiants en eschatologie doivent comprendre ce message.
C’est la prophétie originelle de la Première et de la Seconde Venue du
Messie.
Si les chrétiens pouvaient seulement
comprendre le message prophétique original donné dans les anciens noms
des étoiles et des constellations, personne ne deviendrait impliqué
d’une manière ignorante avec l’astrologie. La vérité libèrerait
effectivement les hommes de ces anciennes idolâtries.
Selon Flavius Josèphe, historien juif du
premier siècle, Seth, le fils d’Adam, a inventé « cette sorte
particulière de sagesse qui est concernée par les corps célestes et de
leur ordre ». («Antiquités», Livre I, chapitre 2, paragraphe 3)
Bien avant le développement de
l’astrologie, Dieu avait placé Son message intriguant dans les
constellations. Chaque religion païenne à travers l’histoire n’est rien
de plus qu’une perversion de cette histoire originale. Pendant les jours
de la Tour de Babel, les hommes méchants ont perverti le message
originel de Dieu et ont fait que les constellations signifiaient quelque
chose de très différent de ce que Dieu avait voulu.
Selon Genèse 1:14, Dieu créa le soleil,
la lune, les planètes et les étoiles pour quatre raisons fondamentales,
dont trois devaient donner à la race humaine une méthode permettant de
mesurer le temps. Par exemple, les jours de notre semaine sont nommés
d’après le soleil, la lune et cinq planètes.
Bien que les étoiles fussent
essentiellement stationnaires, ces sept anciennes vagabondes ne
l’étaient pas. Elles se déplaçaient à travers les cieux avec précision.
Dimanche a été nommé pour le soleil ; Lundi a été nommé pour la lune ;
Mardi tire son nom d’un ancien mot anglo-saxon pour Mars ; Mercredi ou
le jour de Woden a été nommé pour la planète Mercure ; Jeudi ou le jour
de Thor a été nommé pour Jupiter ; Vendredi tire son nom d’un mot
anglo-saxon pour Vénus ; Et samedi a été nommé pour Saturne.
Il y a douze constellations principales à
partir desquelles proviennent les mois de l’année. Le soleil entre dans
une constellation différente chaque mois. La lune a été faite pour
tourner et compter ces mois. En fait, le mot « mois » est un dérivé de
l’expression « lune ».
Les étoiles étaient à l’origine divisées
en 48 constellations composées de 12 constellations principales, avec
36 décans ou pièces sidérales.
En outre, les étoiles ont reçu certains
noms, dont beaucoup ont survécu tout au long de l’histoire. Dans Psaume
147:4, il nous dit que Dieu a nommé les étoiles : « Il compte le nombre des étoiles, il leur donne à toutes des noms. »
Et encore, dans Ésaïe 40:26, le prophète a écrit : « Levez
vos yeux en haut, et regardez ! Qui a créé ces choses ? Qui fait
marcher en ordre leur armée ? Il les a appelle toutes par leur nom ; Par
son grand pouvoir et par sa force puissante, il n’en est pas une qui
fasse défaut. »
Quand David a écrit, « Les cieux racontent la gloire de Dieu, et l’étendue manifeste l’œuvre de ses mains. »
(Psaume 19:2), il devait se référer aux significations des noms des
étoiles. Bien que la plupart des gens d’aujourd’hui ne soient pas au
courant de ces anciens noms, David et ses contemporains l’étaient. Dans
sa langue natale, l’hébreu, les noms des étoiles étaient couramment
utilisés dans les prophéties messianiques.
Kenneth C. Flemming, dans son livre
« Voix de Dieu dans les étoiles » a écrit « Dieu Lui-même est
responsable des noms des étoiles. Il n’a pas confié cette tâche à Adam,
comme il l’a fait pour les noms des animaux. Pendant les 2500 premières
années de l’histoire humaine, avant que l’écriture devienne très
répandue, ces signes dans le ciel nocturne étaient d’une importance
capitale. Ils déclaraient la gloire de Dieu comme on le voit dans la
venue du Sauveur. »
Par où commencer ?
Puisque les grandes constellations
racontent l’histoire de l’Évangile, nous devons déterminer où notre
étude doit commencer. Dans la religion idolâtre de l’astrologie, la
première constellation est considérée comme le Bélier. Cependant,
l’idolâtrie est diamétralement opposée au grand message de salut de
Dieu. Par conséquent, la constellation du début devrait être à 180
degrés du Bélier. L’Evangile dans les étoiles commence donc avec la
Vierge et se termine avec le Lion, le Lion de la tribu de Juda.
Les anciens Égyptiens ont désigné le
début des séries célestes avec la Vierge lorsqu’ils ont construit le
Sphinx, qui se dresse à l’est de la grande pyramide de Gizeh. Il montre
la tête d’une femme sur un corps de lion, indiquant que l’ancienne carte
des étoiles commençait avec la Vierge et se terminait avec le Lion.
Prophétiquement, la Vierge représente la première venue du Christ et le
Lion pointe à SA Seconde Venue. Le message commence à Bethléem et se
termine par le retour du Christ !
Le premier acte de trois
L’histoire est divisée en une pièce de 3
actes. Les 4 premières principales constellations et leurs pièces
constituent le premier acte et se termine avec Draco qui perd sa
position élevée dans la région polaire du nord. Le deuxième acte couvre
l’histoire trouvée dans Capricorne, Verseau, Poissons et Bélier et se
termine avec Cetus (le monstre marin) sortant de la mer. Le troisième
acte raconte l’histoire du Taureau, Gémeaux, Cancer et Lion et se
termine avec la destruction de l’Hydra (le serpent de nombreuses têtes).
L’ancienne carte des étoiles tourne
autour de l’histoire de la dispensation de la grâce. Il n’y a rien dans
le zodiaque au sujet de la création, du déluge, la loi, le tabernacle ou
le temple. Il n’y a rien dans les étoiles pour représenter les grandes
dispensations qui ont précédé Bethléem. Le message entier tissé tout au
long des antiques constellations nous donne la dispensation de la grâce.
Le premier acte raconte la Première Venue du Sauveur ; Le deuxième acte
couvre l’âge d’église ; Et le troisième acte nous donne Sa Seconde
Venue.
Vierge
La constellation de la Vierge a été
donnée pour représenter la promesse de Dieu dans Genèse 3:15. C’était
dans le jardin d’Eden que Dieu a parlé au serpent envoûtant : « Je
mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa
postérité : Celle-ci t’écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon. »
Le fait que la constellation est appelée la Vierge nous rappelle Ésaïe 7:14 : « Voici, la jeune fille deviendra enceinte, elle enfantera un fils, et elle lui donnera le nom d’Emmanuel. »
L’image de la Vierge est celle d’une
femme avec du blé dans la main gauche et une branche dans la main
droite. L’étoile la plus brillante de la constellation se situe dans la
semence de blé. L’étoile est appelée Spica, un mot latin qui signifie
« la branche ». Avec la branche dans sa main droite, nous nous rappelons
d’Ésaïe 04:02 : « En ce temps-là, le germe de l’Éternel aura de la magnificence et de la gloire. »
Dans l’Ancien Testament, notre Sauveur est appelé « un rameau sortira du tronc d’Isaïe et un rejeton naîtra de ses racines. » Et, Zacharie l’a appelé la « branche ».
Il y a trois pièces sidérales qui aident
à raconter l’histoire de la Vierge, faisant un total de quatre
constellations. Il y a Coma, la Vierge avec son fils nouveau-né ;
Bouvier, le grand moissonneur ; Et Centaure, l’archer.
Coma
Le mot Coma signifie « le désiré », pour
l’enfant sur les genoux de sa mère qui représente le désiré, le désir
des femmes, le désir de toutes les nations où le Messie longtemps
attendu.
Isaïe offre un autre passage qui identifie cet enfant. Il a écrit :
« Car un enfant nous est né, un fils
nous est donné, et la domination reposera sur son épaule ; On
l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince
de la paix. » (Isaïe 9:5)
La vierge d’Ésaïe 07:14 porte un fils, Emmanuel, « Dieu avec nous ! »
Bouvier
Bouvier est décrit comme un berger,
portant sa verge et comme un moissonneur, portant sa faucille. C’est la
semence de la femme qui viendra pour récolter la moisson grande. Le mot
Bouvier signifie « Celui qui vient ». Un autre nom pour la constellation
a été pris d’une étoile dans le genou gauche du Berger. Il a été appelé
Arcturus, ce qui signifie aussi, « Il viendra ».
Centaure
Dans l’ancienne carte des étoiles, le
Centaure est représenté comme étant à moitié homme et à moitié cheval.
Cependant, ce n’est pas le concept original de la constellation. Le nom
Centaure signifie tout simplement « deux natures ». Evidemment, cela se
réfère au fait que puisque la semence de la femme était « née d’une
vierge », elle n’était pas la semence de l’homme. Alors, ses deux
natures représentent une combinaison de l’humanité et de la divinité.
C’est Dieu vêtu de la chair humaine et par conséquent peut être
justement appelé Emmanuel, ce qui signifie « Dieu avec nous ».
Dans Genèse 15, l’histoire est donnée à Abraham et dans l’alliance faite par Dieu avec lui. Genèse 15:5 : « Et,
après l’avoir conduit dehors, il dit : Regarde vers le ciel, et compte
les étoiles, si tu peux les compter. Et il lui dit : Telle sera ta
postérité. »
Le message écrit dans les étoiles se
réfère à la « semence » d’Abraham. Le récit des étoiles et comptage des
étoiles présente un message prophétique du Sauveur à venir dans le
monde. Jésus-Christ est l’accomplissement ultime de ce grand message. La
Vierge et ses pièces sidérales représentent le début d’une aventure
pour détruire la semence du serpent et pour sauver la race humaine.
Dans le 12ème chapitre de l’Apocalypse,
elle est vue vêtue du soleil avec la lune sous ses pieds, donnant
naissance au Messie. Ceci nous indique que sa naissance a eu lieu
pendant le Roch Hachana, une période où la constellation de la Vierge
est cachée par le soleil et la lune nouvelle apparaît sous ses pieds !
La Vierge représente à la fois la maison d’Israël et Marie.
Balance
La constellation majeure suivante est
celle de la Balance. Il y a 2 anciennes histoires qui ressortent de
cette constellation. La première était que la Balance était une lampe,
un indicatif de la lampe dans la menora. Le Scorpion est montré dans
certains dessins anciens en train d’essayer de s’emparer de la lampe. La
lampe indique la nature de la « semence de la femme » étant placée
juste sous les pieds de la Vierge. Le Scorpion veut la lampe pour
lui-même. Le Scorpion, comme nous le verrons, représente la « semence du
serpent ». C’est la première représentation du conflit entre la semence
de la femme et la semence du serpent.
Dans d’autres cultures, la Balance a été
dépeint comme un ensemble d’échelles. Balance représenté l’état de la
race humaine après la chute d’Adam. « Tu as été pesé dans la balance, et tu as été trouvé léger. »
(Daniel 5:27) Le signe de la Balance a été associé à la justice et à
l’ordre à travers les siècles. Pour cette raison, le symbole a souvent
été utilisé sur les bâtiments abritant des tribunaux de justice.
Tel était le message donné à
Belschatsar, roi de Babylone. Dans Daniel 5:27, Belschatsar a échoué à
satisfaire les justes exigences de Dieu : « Tu as été pesé dans la balance, et tu as été trouvé léger. » N’est-ce pas également descriptif de la race humaine ? Nous sommes tous coupables devant le grand Juge.
Il y a deux principales étoiles dans le
signe de la Balance qui racontent l’histoire de la prophétie. Sur un
côté de la balance, il y a une étoile appelée Zuben Al Genubi. Cela
signifie « le prix qui est déficient ». Sans aucun doute, cela souligne
le prix que l’homme peut tenter de payer pour la rédemption. Il n’y a
aucune manière que quelqu’un puisse obtenir le salut par ses bonnes
œuvres parce que le prix est déficient.
Cependant, de l’autre côté de la
balance, il y a une étoile appelée Al Chemali Zuben, qui signifie « le
prix qui couvre ». C’est une image du prix payé par le Christ pour la
rédemption des pécheurs.
La constellation de la Balance est assistée de trois pièces sidérales qui aident à raconter l’histoire du prix de la rédemption.
Crux – La Croix du Sud
La première des trois constellations
reliées à la Balance est un groupe d’étoiles en forme de Croix du Sud.
L’ancien titre est Crux. Dans l’hémisphère nord, nous ne pouvons pas
voir la Croix du Sud. Il se situe en dessous de l’horizon du sud. Dans
l’ancienne carte des étoiles, en passant, le sud représente toujours
l’enfer et le nord représente les cieux. La constellation dévoile le
prix qui a été payé par la semence de la femme, afin de racheter
l’humanité.
Lupus
La seconde constellation reliée à la
Balance est connu comme Lupus, mais les Latins l’appelaient Victima, la
victime. La semence de la femme est devenue la victime sur la croix et
ce faisant est devenue le prix qui couvre.
Corona Borealis
La troisième constellation de la Balance
est appelée Corona Borealis, la Couronne du Nord. C’est un magnifique
demi-cercle d’une demi-douzaine étoiles situé dans l’hémisphère nord.
L’histoire de la Balance est que l’homme est pécheur. Nous sommes pesés
dans la balance de la justice de Dieu et nous sommes jugés insuffisants.
La semence de la femme, toutefois, est venue pour devenir une victime
afin de payer le prix pour nos péchés. Il est mort comme un substitut
sur la Croix du Sud afin de pouvoir gagner pour nous la Couronne du
Nord.
Scorpion
La troisième grande constellation est le Scorpion. Elle représente un scorpion, bien que dans certaines cultures, au début, elle était dépeinte comme un dragon ou un serpent. Comme nous l’avons dit plus tôt, au 7ème siècle avant Jésus-Christ, il est montré en tentant de saisir la lampe. Le Scorpion se veut la « lumière du monde ». En d’autres cultures, le Scorpion est vu en train de tenter de piquer le talon du puissant Ophiuchus, qui est vu dans l’anciennes cartes du ciel en train de lutter avec un grand serpent, appelé Serpens.
La troisième grande constellation est le Scorpion. Elle représente un scorpion, bien que dans certaines cultures, au début, elle était dépeinte comme un dragon ou un serpent. Comme nous l’avons dit plus tôt, au 7ème siècle avant Jésus-Christ, il est montré en tentant de saisir la lampe. Le Scorpion se veut la « lumière du monde ». En d’autres cultures, le Scorpion est vu en train de tenter de piquer le talon du puissant Ophiuchus, qui est vu dans l’anciennes cartes du ciel en train de lutter avec un grand serpent, appelé Serpens.
Alors que le Scorpion tente de blesser
le talon d’Ophiuchus, la tête du Scorpion est blessée. Il est dit que le
mot Scorpion signifie « les anarchiques » et représente la semence du
serpent, l’Antéchrist.
L’étoile au cœur du Scorpion est appelé
Antares. Lorsqu’observée dans le ciel nocturne, elle donne l’apparence
d’une couleur profondément rouge et signifie « la blessure ». Alors
qu’Ophiuchus écrase la tête du Scorpion, il est vu en train d’attacher
le serpent qui tente de s’emparer de la couronne du nord. Il y a trois
pièces sidérales à la constellation du Scorpion, Serpens, Ophiuchus et
Hercule. Celles-ci aident à raconter l’histoire du conflit observé dans
le Scorpion.
Serpens
Le serpent (Serpens) représente Satan,
qui a tenté d’usurper le trône de Dieu. Il est vu en train de s’emparer
de la Couronne Nord. Il ne peut pas le faire, cependant, car il est
freiné par Ophiuchus.
Ophiuchus
Ophiuchus est évidemment une vision du
Christ qui, bien que le talon soit meurtri par le conflit, réussit à
écraser la tête de l’impie. Dans ses mains, il tient le Serpens,
l’empêchant ainsi de s’emparer de la Couronne du Nord.
Hercules
L’autre héros caractéristique est Hercule. Il peut être vu dans la carte du ciel en train de battre un serpent à plusieurs têtes avec son bâton. Le serpent est montré dans les branches d’un arbre, probablement « l’arbre de la connaissance du bien et du mal ». Hercules est une autre image du grand Rédempteur.
L’autre héros caractéristique est Hercule. Il peut être vu dans la carte du ciel en train de battre un serpent à plusieurs têtes avec son bâton. Le serpent est montré dans les branches d’un arbre, probablement « l’arbre de la connaissance du bien et du mal ». Hercules est une autre image du grand Rédempteur.
Kenneth C. Fleming, dans son livre La Voix de Dieu dans les étoiles,
a écrit que le signe de la Vierge désignait le Christ comme le signe de
la semence promise de la femme ; Le signe de la Balance représente le
prix qu’Il a payé pour obtenir la rédemption de l’homme ; Et le signe du
Scorpion représente le conflit qu’il a dû endurer. Ces prophéties
célestes ont été donnés dès le début et ont été confirmées et élargies
dans les Écritures.
Enfin, le tout a été accompli à la venue
de Jésus-Christ. Le Scorpion, qui représente l’impie, est dépeint comme
la semence du serpent. Dans le Zodiaque égyptien ancien, le signe du
Scorpion était représenté comme un monstrueux serpent appelé Python. Il
ne représentait pas seulement le grand conflit qui s’est tenu au
Calvaire, mais semble aussi avoir des implications prophétiques
concernant la fin des temps quand l’Antéchrist s’élèvera.
Sagittaire
La quatrième grande constellation est
appelée Sagittaire, apparaissant sous la forme d’un centaure, moitié
humain, moitié cheval. C’est le même concept qui est donné dans
l’histoire de la Vierge. Le Centaure, une des pièces sidérales de la
Vierge, représenté les deux natures du Rédempteur, Sa divinité et Son
humanité. Dans le Sagittaire, il est à la fois triomphant et victorieux.
Bien qu’Il apparaisse sous la forme d’un centaure, on nous rappelle que
notre Sauveur reviendra un jour monté sur un cheval blanc volant.
L’acteur principal dans la constellation
est l’Archer. Le Centaure, ou Dieu-homme, tient un grand arc dans la
main, avec une flèche visant le cœur du Scorpion, l’ennemi. Le
Sagittaire, comme toutes les autres constellations majeures, a trois
pièces sidérales qui aident à raconter l’histoire.
Lyra
Premièrement, il y a Lyra. Ce groupe d’étoiles est décrite comme une harpe et se réfère aux louanges, méritées par le Sagittaire. L’étoile la plus brillante de la constellation est appelée Vega. Elle signifie: « Il sera élevé ». Elle oriente notre attention aux louanges de la harpe. Dans Apocalypse 5:9,13, on nous dit que l’armée des cieux va chanter une nouvelle chanson en disant : « Tu es digne de prendre le livre, et d’en ouvrir les sceaux ; Car tu as été immolé, et tu as racheté pour Dieu par ton sang des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation. » (Verset 9) L’armée des cieux va chanter : « À celui qui est assis sur le trône, et à l’agneau, soient la louange, l’honneur, la gloire, et la force, aux siècles des siècles ! » (Verset 13)
Premièrement, il y a Lyra. Ce groupe d’étoiles est décrite comme une harpe et se réfère aux louanges, méritées par le Sagittaire. L’étoile la plus brillante de la constellation est appelée Vega. Elle signifie: « Il sera élevé ». Elle oriente notre attention aux louanges de la harpe. Dans Apocalypse 5:9,13, on nous dit que l’armée des cieux va chanter une nouvelle chanson en disant : « Tu es digne de prendre le livre, et d’en ouvrir les sceaux ; Car tu as été immolé, et tu as racheté pour Dieu par ton sang des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation. » (Verset 9) L’armée des cieux va chanter : « À celui qui est assis sur le trône, et à l’agneau, soient la louange, l’honneur, la gloire, et la force, aux siècles des siècles ! » (Verset 13)
Ara
Plus au sud du Sagittaire, il y a sa
seconde pièce sidérale, un autel appelé Ara. L’autel est vu à l’envers,
avec son feu déversé sur le pôle Sud, appelé « les régions des ténèbres
extérieurs ». Ici commence une nuée d’étoiles qui se déroule tout au
long des cieux. Aujourd’hui, cette région est appelée la Voie Lactée,
mais dans certaines cartes antiques du ciel, c’est mentionné comme
« l’étang de feu ».
Le mot Ara, nom de l’autel renversé, signifie « c’est fini ». Il n’y a plus de sacrifice pour le péché.
Draco
La constellation finale qui forme une
pièce sidérale du grand Sagittaire est Draco, le dragon. Cette mise en
scène du dragon termine le premier acte avec le drame prophétique.
Draco est une constellation sinueuse
constituée d’étoiles qui s’enroulent autour de la partie septentrionale
de l’hémisphère nord. Elle couvre un tiers de la circonférence et nous
rappelle à Apocalypse 12:3,4 :
« Un autre signe parut encore dans
le ciel ; Et voici, c’était un grand dragon rouge, ayant sept têtes et
dix cornes, et sur ses têtes sept diadèmes. »
« Sa queue entrainait le tiers des étoiles du ciel, et les jetait sur la terre. »
« Sa queue entrainait le tiers des étoiles du ciel, et les jetait sur la terre. »
Il y a environ 4700 ans, l’étoile du
grand dragon, Thuban, était en fait l’étoile polaire. Cependant, au
cours des siècles, Draco est tombé de sa position élevée et a été
remplacé par Polaris, chassé du paradis parce qu’il avait tenté
d’usurper le trône de Dieu.
Le message vu dans l’ancienne carte des
étoiles raconte une histoire bien différente de celle que l’astrologie
voudrait nous faire croire. Ceux qui tenteraient de prédire l’avenir,
par l’utilisation d’un horoscope, pervertissent en réalité le message
originel de Dieu donné dans les constellations. Satan n’a pas inventé le
zodiaque. En fait, mon opinion est que Satan est incapable d’inventer
quoi que ce soit. Il a seulement perverti ce que Dieu a créé à
l’origine.
Dieu a fait et a nommé les grandes
constellations et leurs étoiles. Et la signification de leurs noms
représente le message de la rédemption, à partir de la Vierge qui
correspond à sa naissance à Bethléem, jusqu’au Lion qui correspond à son
retour comme le « lion de la tribu de Juda » pour établir son royaume
sur terre.
Deuxième Acte
Le deuxième acte du grand drame est
présenté à travers les constellations du Capricorne, Verseau, Poissons
et Bélier. Ces signes, de concert avec leurs constellations,
n’expliquent pas tant la personne du Rédempteur, mais les résultats de
son œuvre rédemptrice, en particulier la relation avec les gens qui sont
rachetés.
Capricorne
Le rideau se lève avec un acteur très
improbable sur la scène. Il s’agit d’un bouc avec une queue de poisson.
Cette monstruosité étrange présente un magnifique message lorsque nous
comprenons que le bouc représente l’animal sacrificiel utilisé le Jour
de l’Expiation et le poisson représente le corps des croyants qui ont
reçu la vie à partir de la mort par un grand sacrifice.
Jésus est l’accomplissement du bouc
sacrificiel et les croyants sont représentés par les poissons. Dans
certaines cartes anciennes des étoiles, le bouc semble mourir avec la
tête inclinée et les jambes repliées, tandis que la queue de poisson est
vivante et vigoureuse.
Il y a deux étoiles dans la tête du bouc
qui racontent l’histoire. Daneb Algedi, qui signifie « le sacrifice
vient » et Dabih, qui signifie « le sacrifice immolé ». Notez que du
bouc mourant vient un poisson vivant. Par ailleurs, la Bible enseigne
que le Christ est le chef de l’Eglise, alors qu’en retour, l’Église
représente le corps du Christ, donc la tête d’un bouc et le corps d’un
poisson. Quand Jésus a nommé ses premiers disciples dans Matthieu 04:19,
Il a dit : « …je vous ferai pêcheurs d’hommes. »
Sagitta
Il y a trois pièces sidérales qui aident
à raconter l’histoire du Capricorne. Premièrement, il y a une petite
mais ancienne constellation appelée Sagitta, la flèche du jugement de
Dieu contre le péché. Elle représente ce qui a percé le Fils de Dieu
quand il est devenu le sacrifice pour les péchés du monde. Elle
représente l’instrument de la justice divine sur le Christ qui a pris la
place de l’homme coupable.
Le Psalmiste a écrit de lui dans Psaumes 38:3 « Car tes flèches m’ont atteint, et ta main s’est appesantie sur moi. » Job a parlé d’une chose semblable quand il déplorait, « Car les flèches du Tout-Puissant m’ont percé. » (Job 6:4) Chaque croyant né de nouveau peut apprécier avec un sentiment profond que « il était blessé pour nos péchés. » (Ésaïe 53:5)
Aquilla
La seconde pièce sidérale est Aquilla,
la chute de l’aigle. Les anciens noms pour les étoiles dans la
constellation racontent une histoire évidente. Il y a une étoile dans la
chute de l’aigle appelé Al Okal, qui signifie « blessé au talon ».
Par ailleurs, l’aigle est un des
symboles du Christ dans la Bible. Par exemple, dans Exode 19:4, Dieu
parla à Moïse et aux enfants d’Israël en disant : « … et comment je vous ai portés sur des ailes d’aigle et amenés vers moi. »
Kenneth C. Fleming, dans son livre La Voix de Dieu dans les étoiles,
le déclare de cette façon : « L’aigle vu dans cette constellation est
cohérent avec ce que nous avons noté dans l’ensemble le signe du
Capricorne. Le bouc tué comme victime expiatoire est suivie par la
flèche du jugement de Dieu et l’aigle percé est tombé. »
Delphinus
Le troisième pièce sidérale est une
constellation appelée Delphinus. Elle représente un dauphin, jaillissant
hors de l’eau. C’est l’image de la résurrection. Notre Sauveur est mort
pour ressusciter.
Par ailleurs, le dauphin est une autre
créature née de l’eau et j’ajouterais que l’eau est un type du
Saint-Esprit dans la Bible. Le dauphin ressuscité représente la vie
éternelle donné à tous ceux qui croient.
Verseau
La prochaine constellation majeure qui
suit le Capricorne est le Verseau, le grand porteur d’eau. Notre Sauveur
lui-même est identifié comme l’accomplissement du Verseau dans Jean
4:14. Il dit : « Celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura
jamais soif, et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source
d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle. »
Par ailleurs, nous pouvons voir son
accomplissement le jour de la Pentecôte où l’Esprit de Dieu a été
déversé sur les croyants. Voilà le message qui se trouve dans le
Verseau. Tout au long de la Bible, l’eau a été le symbole de l’Esprit
Saint.
Le prophète Joël a décrit le tout quand il a écrit : « Après cela, je répandrai mon esprit sur toute chair. » (Joël 2:28)
L’apôtre Pierre a répété le message sur
le jour de la Pentecôte, quand il a expliqué le « vent impétueux » et
les « langues de feu » qui « se posèrent sur chacun d’eux. » Oui, le
message dans la constellation du Verseau trouve son accomplissement
ultime à travers le jour de la Pentecôte.
Pisces Austrialis
Le porteur d’eau peut être vu répandant
son eau sur Pisces Austrialis, le Poisson austral, la première pièce
sidérale. Le poisson, à nouveau, représente ce qui est né de l’eau et de
l’esprit, ce grand corps de croyants à travers les âges.
Cygnus
La seconde pièce sidérale de la
constellation du Verseau est appelé Cygnus, le Cygne de la Croix du
Nord. La constellation dévoile un magnifique cygne volant à travers les
cieux, mais les étoiles forment la forme d’une croix. Ceci implique le
message « d’aller çà et là sur toute la terre portant le signe de la
croix ».
Pegasus
La troisième pièce sidérale est un
cheval blanc volant nommé Pegasus. Son message est celui du retour du
Christ. Apocalypse 19 révèle la belle histoire :
« Puis je vis le ciel ouvert, et
voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait s’appelle Fidèle et
Véritable, et il juge et combat avec justice. »
« Ses yeux étaient comme une flamme de feu ; Sur sa tête étaient plusieurs diadèmes ; Il avait un nom écrit, que personne ne connaît, si ce n’est lui-même. »
« Et il était revêtu d’un vêtement teint de sang. Son nom est la Parole de Dieu. » (Apocalypse 19:11-13)
« Ses yeux étaient comme une flamme de feu ; Sur sa tête étaient plusieurs diadèmes ; Il avait un nom écrit, que personne ne connaît, si ce n’est lui-même. »
« Et il était revêtu d’un vêtement teint de sang. Son nom est la Parole de Dieu. » (Apocalypse 19:11-13)
C’est le message qui se trouve dans
Pegasus. Notez que la dispensation commence par l’effusion de Son Esprit
sur toute chair comme on le voit par le grand porteur d’eaux. La
constellation du Pisces Austrinus représente cette foule immense de
fidèles qui ont reçu l’eau de la vie.
Lors de cette dispensation, c’est notre
responsabilité d’aller çà et là sur toute la terre portant le signe de
la croix comme observé dans la constellation du Cygnus. Enfin, la
dispensation se terminera avec le retour de Jésus-Christ en puissance et
avec une grande gloire sur le dos d’un cheval blanc volant comme
observé dans la constellation Pegasus.
Dans l’épaule de Pegasus, il y a une
étoile brillante appelée Markab. Elle signifie « revenir de loin ».
Pendant plus de 2500 ans, le monde a été sans une révélation écrite de
Dieu. La question est « Dieu s’est-il Lui-même laissé sans témoin ? » On
nous dit dans les Écritures que ce n’est pas le cas. Romains 1:19-20
nous dit : « Car ce qu’on peut connaître de Dieu est manifeste pour
eux, Dieu le leur ayant fait connaître. En effet, les perfections
invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient
comme à l’œil, depuis la création du monde, quand on les considère dans
ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables. ».
Mais, comment connaître Dieu ? Comment
étaient ses choses invisibles, Ses plans, Ses desseins et Ses conseils
connus depuis la création du monde ? On nous donne la réponse dans
Romains 10:18. Ayant déclaré au verset 17 que « ce qu’on entend vient de la parole de Christ », il demande : « Mais je dis : N’ont-ils pas entendu ? Au contraire ! » Et alors nous pouvons demander « Comment ont-ils entendu ? » La réponse suit ; « Leur voix est allée par toute la terre, et leurs paroles jusqu’aux extrémités du monde. » (Romains 10:18)
Quels mots ? Quelles instructions ? Quel
message ? Il n’y a qu’une seule réponse et c’est au ciel ! Bien avant
il existe une Bible écrite, il y avait un message écrit dans les
étoiles. Romains 10:18 se réfère à ce message. C’est un passage cité de
Psaumes 19, la première partie étant occupée par l’apocalypse de Dieu
écrit dans les étoiles et la dernière partie du chapitre avec
l’apocalypse de Dieu écrit par les mots. C’est l’explication simple du
magnifique Psaume 19:2-3 :
« Les cieux racontent la gloire de
Dieu, et l’étendue manifeste l’œuvre de ses mains. Le jour en instruit
un autre jour la nuit en donne connaissance à une autre nuit. »
Les douze principales constellations
avec leurs pièces sidérales présentent le drame original des âges sous
la forme de ce que j’appelle une pièce en trois actes. Le premier acte
est présenté à travers les quatre premières constellations, la Vierge,
la Balance, le Scorpion et le Sagittaire. Cela commence à Bethléem avec
la naissance de la « semence » de la femme. Cela établit son conflit
et sa victoire sur le Scorpion qui est la « semence » du serpent. Le
deuxième acte est présenté à travers quatre autres constellations, le
Capricorne, le Verseau, les Poissons et le Bélier. Ils représentent
l’âge de l’église et le christianisme du Nouveau Testament, dont le
symbole astronomique est le poisson. Les quatre dernières
constellations, avec leurs pièces sidérales, représentent le dernier
acte dans le grand drame des Âges, la période des tribulations suivie
par la seconde venue du Christ. Ceci est présenté à travers les
constellations du Taureau, des Gémeaux, du Cancer et du Lion.
Taurus
Le signe Taurus ouvre le troisième acte,
nous montrant l’arrivée du juge de toute la terre. Taurus est
représenté comme un taureau enragé, venant furieusement. Seule la moitié
avant du taureau est représentée dans la constellation. À l’endroit où
l’extrémité arrière du taureau serait normalement établi se trouve la
constellation du Bélier, l’Agneau, comme si le taureau sortait du
Bélier. C’est une magnifique image du Christ qui est venu la première
fois comme l’Agneau de Dieu pour enlever les péchés du monde, mais qui
reviendra un jour pour apporter le jugement sur les méchants.
Taurus est différent des taureaux
domestiques. C’était probablement un animal qui est aujourd’hui éteint,
un féroce parent des bovins domestiques, appelés « Rimu » dans les
Écritures hébraïques. Rimu est traduit par « licorne » dans la version
du Roi Jacques de la Bible et était considéré être un être mythologique,
une créature avec une seule corne. Cependant, c’était probablement un
gros bœuf sauvage. Célèbre pour sa taille et sa férocité, il peut avoir
survécu jusqu’à l’époque de la Rome des César, mais est maintenant
éteint. Le taureau sauvage ou Rimu était un symbole de puissance et
gouvernance.
Balaam a décrit la puissance de Jéhovah au nom d’Israël dans Nombres 23:22 quand il a dit : « Dieu les a fait sortir d’Égypte, il est pour eux comme la vigueur du buffle. » (Rimu)
Taurus est le signe du jugement à venir.
C’est le « jour de vengeance de notre Dieu » (Ésaïe 61:20). Il s’agit
d’une « journée de colère » (Romains 2:5) à partir duquel nous serons
délivrés parce que « Dieu ne nous a pas destinés à la colère » (I Thess.
5:9). Taurus signifie « gouverneur, capitaine ou dirigeant ». Dans
l’épaule de Taurus il y a un groupe d’étoiles connues sous le nom des
Pléiades, ce qui signifie « congrégation du juge ».
Auriga
Une des trois pièces sidérales qui
aident à raconter l’histoire de Taurus est la constellation d’Auriga.
C’est l’image du Grand Berger. Il est assis calmement au-dessus du
taureau en furie, tenant une chèvre qui vient de donner naissance à une
paire d’enfants sur ses genoux. Au cœur de la chèvre il y a une étoile
brillante appelée Capella, ce qui signifie « la chèvre ». Un petit
triangle d’étoiles proches de Capella est appelé Haedi, ce qui signifie «
les enfants » et les marques des deux progénitures de la chèvre dans le
giron de Auriga. Il s’agit d’une ancienne image du berger grande
protégeant son peuple de la journée de la colère.
Il y a une étoile brillante au pied du
berger appelé Elnath, qui signifie « le blessé ». Elle nous rappelle que
le juge à venir est celui qui a été « blessé pour nos péchés » (Ésaïe
53:5). Elnath nous rappelle que notre Sauveur devait être blessé au
talon, comme prévu dans Genèse 3:15.
Orion
La seconde pièce sidérale est Orion, qui
est connu comme étant la vision la plus spectaculaire et la plus
merveilleuse dans le ciel nocturne. Orion est représenté comme un
puissant chasseur avec un bâton dans la main droite. Dans la main
gauche, il tient la peau d’un lion qu’il a tué. Orion est mentionné deux
fois dans le livre de Job et une fois dans les prophéties d’Amos. Orion
signifie « qui sort comme la lumière. »
L’étoile la plus brillante dans la
constellation est Bételgeuse, qui signifie « l’arrivée de la branche ».
Une autre étoile dans son pied est Rigel, qui signifie « le pied qui
écrase ». Dans l’épaule de la constellation il y a l’étoile appelée
Bellatrix, qui signifie « venir rapidement ». Dans sa jambe, il y a une
étoile appelée Saiph, signifiant « meurtri ». Encore une fois, comme
dans tous les autres cas, on nous rappelle le Christ écrasant la tête de
la semence du serpent. Orion est évidemment une image du Christ venant
en puissance et avec grande gloire.
Eridanus
Le troisième pièce sidérale est
Eridanus, la « rivière de feu », qui coule au pied soulevé d’Orion. Cela
représente la méthode par laquelle le Christ va écraser la tête de la
semence du serpent. Josèphus nous dit qu’Adam a reçu une prophétie que
Dieu détruirait le monde à deux reprises, une fois avec de l’eau et une
autre fois avec le feu. Eridanus représente le jugement du feu. Il
voyage à travers les cieux vers le sud. Dans la rivière, il y a
plusieurs étoiles nommées : Archernar signifie « la partie arrière de la
rivière » ; Cursa signifie « penché » ; Et Zourac signifie « coulant ».
Ceci est un magnifique message prophétique qui se trouve dans la
constellation de Taurus. Il ouvre le dernier acte de ce grand drame des
âges s’écoulant sur une scène étoilée, le panorama du ciel nocturne.
Gemini
La prochaine constellation majeure est
les Gémeaux. Dans la carte des étoiles, elle est décrite comme une paire
de jumeaux. Toutefois, dans l’antique Zodiaque Dendérah de l’Égypte,
Gemini est dépeint comme un homme et une femme. Dans la langue copte,
Gemini est appelée Pi-mahi, qui signifie « les unis ». Je crois que cela
représente le Sauveur et son épouse.
Il y a deux étoiles qui marquent les
têtes des deux personnes des Gémeaux, Castor et Pollux. Ce sont des noms
latins. Castor signifie « souverain ou juge » et Pollux signifie «
blessé, humilié ». Encore une fois, nous nous souvenons des souffrances
du Sauveur qui va venir un jour pour être réuni à son épouse. Il est
destiné à régner sur la terre comme le Roi des rois et le Seigneur des
seigneurs.
Canis Major
Comme les autres constellations
principales, il y a trois pièces sidérales qui aident à raconter
l’histoire des Gémeaux. La première est de Canis Major. Elle est
dépeinte comme un chien de grande taille et doit être considéré avec la
seconde pièce sidérale, Canis Minor, petit chien. Au cours des siècles,
ces deux constellations ont perdu leur signification originale. Les
Grecs supposaient que c’était les chiens de chasse d’Orion, alors qu’en
fait, les noms des étoiles dans Canis Major et Canis Minor révèlent
qu’ils n’étaient même pas des chiens à l’origine, mais des images du
Prince de la Paix et du Rédempteur du monde.
La plus importante étoile dans Canis
Major est Sirius, l’étoile la plus brillante dans le ciel tout entier.
Elle est située à seulement neuf années-lumière, ce qui en fait l’une
des plus proches voisines de la Terre parmi les millions d’étoiles.
Sirius est l’étoile la plus glorieuse dans le ciel, qui signifie « le
Prince ». Elle est la racine du mot d’où nous tirons le titre, « Sir ».
Canis Minor
Canis Minor est représenté comme un plus
petit chien. Il s’agit d’un petit groupe d’étoiles juste au sud de
Gemini. Bien que le sens originel de Canis Minor ait depuis longtemps
été occulté, nous pouvons facilement déterminer son sens originel à
travers la brillante étoile Procyon, qui signifie « Rédempteur ou
Sauveur ». Telle est la véritable signification de la constellation. Il y
a bien longtemps, les Égyptiens l’appelaient Sebak, qui signifie « le
conquérant ou victorieux ». Tant Canis Major et Canis Minor aident à
raconter l’histoire du conquérant Rédempteur à venir.
Lepus
La troisième pièce sidérale est Lepus.
Dans la carte des étoiles, Lepus est dépeint comme un lapin, mais, dans
les zodiaques les plus anciens, c’était un serpent. Il est situé juste
en dessous d’Orion, le prince glorieux qui écrase la tête du Lepus, le
serpent. Il y a une étoile dans le pied levé d’Orion appelée Rigel, qui
signifie « le pied qui écrase ».
L’étoile la plus brillante dans Lepus
est Arneb, signifiant « l’ennemi de celui qui vient ». Il y a une autre
étoile appelée Nihal, qui signifie « le fou » et une autre étoile
appelée Sulya qui signifie « le trompeur ». Oui, la grande constellation
Gemini, avec ses pièces sidérales représente l’Époux venir comme le
Prince de la Paix, le Sauveur et le Rédempteur qui va conquérir l’ennemi
piétiné. Il vient pour enlever les saints, ce qui nous empêche de
passer par la période des tribulations.
Dans Luc 21:25, Jésus dit que les
derniers jours seraient caractérisés par des signes dans le soleil, la
lune et dans les étoiles. Un jour, notre Sauveur viendra pour mener à
bien ces grandes prophéties dans les étoiles. Lorsque Dieu créa les
cieux, Il a donné certains noms à des étoiles dont la signification
raconte l’histoire du grand plan de Dieu pour les âges. Dieu a donné à
cette histoire à Adam et à sa descendance. Selon Flavius Josèphe, Seth,
le fils d’Adam, a inventé cette « science particulière qui traite des
corps célestes et de leur ordre ».
Cancer
La onzième constellation est le Cancer.
Elle est dépeinte comme un crabe et désigne ce qui est né de l’eau. Cela
nous rappelle le christianisme du Nouveau Testament dont le symbole est
celui d’un poisson, car nous sommes nés de l’eau, un type du
Saint-Esprit. Le crabe a une caractéristique inhabituelle.
Périodiquement, il jette son enveloppe extérieure et sort avec ce qui
semble être une nouvelle vie. Le symbole représente la résurrection de
ces saints du Nouveau Testament, qui sont une partie de l’enlèvement et
accompagnent les saints vivants enlevés au ciel.
Selon EW Bullinger, dans son livre, The Witness of the Stars,
le signe du Cancer était représenté dans un ancien Zodiac égyptien
comme un insecte scarabée, mais l’implication est la même. Dans
l’ancienne Égypte, le scarabée pouvait ramper sous un rocher. Plus tard,
l’insecte pouvait briser la coquille de son corps et apparaître comme
une magnifique créature ailée qui s’envolait. Encore une fois,
l’implication est celle de la Résurrection.
Selon Kenneth C. Fleming, dans son livre La Voix de Dieu dans les étoiles,
le mot Cancer vient d’une racine qui signifie « détenir ou encercler ».
Pour cette raison, Fleming croit que la constellation se réfère à une
ancienne auberge orientale où les animaux étaient gardés pour leur
sécurité. » Dans un autre ancien Zodiaque, la constellation était
appelée Klaria, ce qui signifie « rassemblement de troupeaux ». Si tel
est le sens du Cancer, c’est alors une image du ciel où le berger garde
ses moutons ! C’est toujours en harmonie avec le concept global de la
Résurrection et de l’Enlèvement.
Il y a plusieurs étoiles dans le Cancer.
L’étoile la plus brillante est Tegmine, ce qui signifie « maintenir » ;
Une autre étoile, Acubene, signifie « abri ou cachette » ; Ma’Alaph
signifie « des milliers rassemblés » ; Al Himarean signifie « chevreaux
ou agneaux » ; Et un amas d’étoiles au milieu de la constellation,
Praesepe, signifie « multitude ». C’est une très belle image de ce jour
où nous serons transportés dans le ciel afin de nous tenir devant notre
Sauveur.
« Il y a plusieurs demeures dans la
maison de mon Père : Si cela n’était pas, je vous l’aurais dit. Je vais
vous préparer une place. Et, lorsque je m’en serai allé, et que je vous
aurai préparé une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi,
afin que là où je suis vous y soyez aussi. » (Jean 14:2-3) Quelle promesse magnifique !
Ursa Minor
Il y a trois pièces sidérales qui aident
à raconter l’histoire du Cancer. La première constellation présente est
Ursa Minor, connue aujourd’hui comme la Petite Ourse. Avant que la
constellation ne devienne une ourse, elle était mentionnée comme un
ours. Toutefois, l’ours n’apparait pas dans tous les anciens Zodiaques
de la Chaldée, de la Perse, de l’Égypte ou de l’Inde. Longtemps avant
que la constellation ne devienne un ours, elle était décrite comme une
bergerie. Elle représente le ciel, l’endroit où le grand Berger garde
ses moutons.
Il y a sept étoiles brillantes dans Ursa
Minor, mais il y a un nombre total de 24 qui forment la constellation
complète. Les sept étoiles nous rappellent les sept lampes qui brûlent
devant le trône de Dieu et les 24 étoiles nous rappellent les 24 anciens
d’Apocalypse 4, qui sont assis autour du trône de Dieu.
L’étoile la plus significative dans Ursa
Minor est Polaris. Elle est appelée l’étoile du Nord et ceci nous
rappelle Ésaïe 14:13 qui indique que le ciel est situé « à l’extrémité
du septentrion ». Cela ne signifie pas que le ciel tourne au-dessus du
pôle Nord. Cela signifie simplement que dans les anciennes le nord
représente les cieux, tandis que le sud représente l’enfer.
Les Grecs appelaient Ursa Minor par le
nom d’Arcas, à partir duquel nous obtenons des mots comme « arctique ».
Arcas signifie ours, mais la signification de la racine est « le bastion
des sauvés ».
Il y a une étoile dans la constellation
appelée Kochab, ce qui signifie « en attente de la venue » ; Une autre
étoile, Alkaid, signifie « l’assemblée » ; Et encore une autre,
Alpherkdain, signifie « l’assemblée des rachetés ».
Ursa Major
Un autre pièce sidérale est Ursa Major,
qui avec Ursa Minor semble raconter la même histoire. Bien qu’elle soit
dépeinte comme la Grande Ourse, elle se référait originellement au
groupement de mots « le troupeau assemblé ». Comme dans le cas d’Ursa
Minor, il y a également sept étoiles brillantes qui forment la
constellation d’Ursa Major. L’étoile la plus brillante est Dubeh, qui
signifie « troupeau » ; Merach signifie « le troupeau racheté » ; Phaeda
signifie « visité, gardé ou numéroté » ; Et Benet Naish signifie « les
filles de l’assemblage ».
Il s’agit d’une magnifique vision de la
vaste assemblée des croyants qui sont réservés dans le ciel, aujourd’hui
et attendent la résurrection. Tant Ursa Major et Ursa Minor
complimentent la constellation du Cancer en représentant la grande
bergerie céleste où le berger garde les croyants rachetés.
Argo
La troisième pièce sidérale du Cancer
est un bateau appelé Argo. C’était le célèbre navire des Argonautes.
Selon la mythologie grecque, son capitaine, Jason, a récupéré la Toison
d’or du serpent. Pour ce faire, bien sûr, il devait combattre à la fois
un dragon et un géant. De l’ancienne histoire mythologique, nous pouvons
glaner le vrai sens du « vieux bateau Zion qui navigue
tranquillement ». Je pense que cela représente les « nuages » des
cieux, peut-être des véhicules célestes pour les saints ressuscités.
Jason aurait pu être une ancienne histoire du Rédempteur, la Toison d’or
étant un symbole de vie éternelle ; Le dragon est le symbole de Satan ;
Et le géant pourrait représenter la plus grande de toutes les guerres
terrestres, Armageddon.
Parmi les étoiles de la constellation,
la plus brillante est Canopus, ce qui signifie « la possession de celui
qui vient ». Une autre étoile, Sephina, signifie « la multitude ». Elles
semblent représenter le vaisseau de notre salut. Telle est l’histoire
qui se trouve dans la grande constellation du Cancer.
Lion
Maintenant, nous arrivons à la fin du
cercle. Nous avons commencé avec la Vierge et nous finirons avec le
Lion. Toute personne qui a suivi notre étude ne peut douter que nous
avons ici la résolution de l’énigme du Sphinx, parce que sa tête est la
Vierge et que son corps est le Lion. Dans le Lion, nous atteignons la
fin de la révélation inspirée par la Parole de Dieu.
La constellation est dépeinte comme un
grand lion bondissant sur sa proie. Il s’agit d’une vision magnifique du
« Lion de la tribu de Juda », si joliment décrite dans l’Apocalypse
5:5. Lorsque notre Sauveur est venu la première fois, il est venu comme «
l’Agneau de Dieu, qui enlève le péché du monde » (Jean 1:29). Mais,
quand il viendra pour la seconde fois, il viendra comme le « Lion de la
tribu de Juda » pour établir son royaume sur la terre.
Hydra
Comme les autres constellations
principales, il y a trois pièces sidérales qui aident à raconter
l’histoire du Lion. Le premier est Hydra, le serpent à plusieurs têtes.
C’est une constellation énorme s’étendant approximativement sur un tiers
de la distance autour du cercle céleste, nous rappelant que « la queue
de Satan entraînait le tiers des étoiles du ciel. » (Apocalypse 12:4)
Hydra signifie, « il est abhorrée ! » Elle est composée de 60 étoiles,
un multiple du nombre de six. L’idée derrière Hydra est que quand on
coupe sa tête, deux repoussent à sa place. C’est le grand dragon rouge
connu sous le nom de Satan.
Cratère
La seconde pièce sidérale est appelée
Cratère et est représenté comme une tasse, un bol ou un flacon de la
colère de Dieu étant répandu sur Hydra. Je pense qu’il est significatif
que la constellation soit composée de 13 étoiles, le nombre des «
mauvais présages ». Elle nous rappelle l’histoire de l’Apocalypse 15 et
16 où les sept anges prennent les coupes de la colère et les déversent
sur le royaume de l’Antéchrist.
Corvus
Enfin, la troisième pièce sidérale est
Corvus. Elle est vue comme un oiseau qui mange la chair d’Hydra. Cela
nous rappelle ce jour où les oiseaux viennent manger la chair des morts
sur les champs de bataille d’Armageddon.
Le Lion est vu sautant sur Hydra, le
déchirant et le détruisant. Voici la conclusion de toute cette affaire.
Voici, nous avons le triomphe final du Fils de Dieu et la victoire
consommé de la « semence » de la femme sur la « semence » du serpent.
Donc, Nous sommes arrivés. Les
constellations ont été nommées par notre grand Créateur et préparées
pour raconter l’histoire de la rédemption de l’humanité déchue. Le
message a été donné à Seth, le fils d’Adam. Pendant 2500 ans, avant la
rédaction de la Genèse, les premières civilisations ont pu étudier le
message de l’amour de Dieu et de la rédemption. C’est le message de ces
signes mystérieux dans les cieux.
Pleins Feux Sur l'Heure Juste (http://s.tt/1x9vq)
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