lundi 3 octobre 2011

L’autre façon de nous manipuler le cerveau


Les amis, grâce à la prise de parole d'un MOCqueur, Boris Prat, ce samedi lors d'une réunion de ATTAC près de Montauban (82), je découvre les Objecteurs de Croissance. Un régal. J'espère que vous profiterez comme moi de fouiller un peu sur le Net avec ces mots "Mouvement Objecteurs de Croissance".

Voici un article que j'ai trouvé en allant de site en site : http://www.piecesetmaindoeuvre.com/
Cliquez sur l'image pour entrer sur le site, puis fouillez, c'est un régal.



Les « Rencontres i » : l’autre façon de nous manipuler le cerveau

http://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG/pdf/Rencontres_i.pdf


Expérience : de ces deux groupes de mots, lequel vous séduit ? Répondez spontanément.

1) exploration sensible – écorce du vent – chemin d’eau – aventure scientifique – jardin mythique – instrument à improviser – figure du rebelle – questionnement onirique – apéro mathématiques – résistance – arbres à souhaits – splendeur lumineuse – appétit de curiosité – ponts entre les mondes – promenade ludique – sciences à roulettes ! – graines de rencontres – imaginons ensemble.

2) phtalates – plomb – mercure – pesticides – métaux lourds – neurotoxiques – cocktail chimique – nanoparticules – pollution – contamination – Parkinson – secret industriel – obésité – TOC – Alzheimer – épidémie silencieuse – électrodes – implant cérébral – manipulation du comportement – contrôle du cerveau – psychochirurgie – cobayes – compétition mondiale – homme-machine – possession technologique – post-humanité – empreinte cérébrale – société de contrainte.

Vous avez choisi ? Formidable. Ces deux listes décrivent la même réalité : l’activité de la technopole en cet automne 2011. Les nouveautés sur le front des techno-sciences. Tandis que s’achève la construction des bâtiments de Clinatec, la « clinique du cerveau » imaginée par le patron du CEA-Minatec, Jean Therme, et le neurochirurgien Alim-Louis Benabid, s’ouvre l’édition 2011 des « Rencontres i » conçues par le directeur de l’Hexagone, Scène nationale de Meylan – Antoine Conjard.

La première liste de mots est tirée de la plaquette de promotion de ces « rencontres entre arts et sciences » destinées à ouvrir « les portes de l’imagination ». La seconde vient de notre enquête sur les activités de Clinatec, le dernier fleuron de la Recherche & Développement grenobloise, et de ses promoteurs.

On sait depuis l’aveu de Jean Therme en 2006 que les technarques ont appelé à la rescousse des historiens, philosophes, artistes et autres spécialistes en sciences humaines pour « définir comment projeter les nanotechnologies dans l’imaginaire du grand public. »1 Spontanément ou après réflexion, le « grand public » pressent du louche derrière les vagues incessantes de promesses technologiques. Il sait, le « grand public », qu’on n’arrête pas le progrès, et ne s’en réjouit guère. À vrai dire, plus le progrès va, plus le moral baisse, singulièrement en ces temps d’accélération technologique.

Edward Bernays, l’inventeur des public relations, expliquait dès 1928 : « La propagande modifie les images mentales que nous avons du monde (…) Elle prépare l’opinion à accueillir les nouvelles idées et inventions scientifiques en s’en faisant inlassablement l’interprète. Elle habitue le grand public au changement et au progrès. »2 Il faut forcer l’enthousiasme des cobayes ; façonner leur imaginaire pour l’accorder au mondelaboratoire.

Il faut, disent les communicants, leur raconter une histoire. Faire ludique et divertissant. C’est l’objet des « Rencontres i » - i pour imaginaire –, de leurs spectacles « originaux », propositions « audacieuses » et rendez-vous « excitants ». Les épithètes sont livrées, moyennant finances, par le logiciel publi-rédactionnel du Petit Bulletin, prospectus promotionnel hebdomadaire de la cuvette.

Les techno-maîtres remercient cette année la compagnie Ici-Même, prestataire en exploration-sensible-desterritoires-humains, le jazzman Bernard Lubat, ennemi des multinationales et partenaire du Commissariat à l’énergie atomique, la compagnie KomplexKapharnaüM, fournisseur d’une gamme complète de « formes de résistance » agréées par Minatec, ainsi que les écrivains, plasticiens, musiciens, danseurs, jongleurs, pour leur collaboration tarifée - en plus on mangera bio après les spectacles.

Cette avalanche d’images, de sons, d’effets spéciaux, de parcours thématiques, de brainstorming, n’a, chacun le sait mais le tait, qu’un objectif : nous accoutumer à notre incarcération dans le monde-machine. Ou si l’on veut, rendre acceptable, désirable, la société de contrainte en germe dans les laboratoires. Les « Rencontres i » : l’autre façon de nous manipuler le cerveau.

Quant à nous qui ne sommes pas des Artistes, incapables que nous sommes de remplir les dossiers de subvention3, nous avons une autre histoire à vous conter. Celle, véritable, d’une innovation technologique qui une fois de plus va révolutionner nos vies.

Depuis un siècle, l’industrie chimique a répandu sur la planète de telles quantités et variétés de poisons que l’air, l’eau, les terres arables et leurs produits, en sont aujourd’hui infestés. On trouve dans le sang des nouveaux-nés des dizaines de substances nocives, dont de nombreux neurotoxiques. Les études épidémiologiques et toxicologiques ont montré l’impact de ces agresseurs sur le cerveau, et leur rôle dans l’explosion des maladies neurodégénératives (Parkinson, Alzheimer, sclérose en plaques, etc), et des affections neuropsychiatriques (autisme, hyperactivité infantile, schizophrénie, etc). Cette « épidémie silencieuse » touche plus du quart de la population européenne (soit 125 millions de personnes), selon le Conseil européen du cerveau. Des malades de plus en plus nombreux et de plus en plus jeunes, même compte tenu de l’allongement de la durée de la vie et de l’amélioration du diagnostic4. Bref, la chimie a contaminé nos neurones et attaque notre santé mentale.

À Grenoble, les maladies neurodégénératives intéressent depuis plus de 30 ans les neurochirurgiens. À la suite d’Alim-Louis Benabid, ils développent des procédés de stimulation électrique du cerveau par implantation d’électrodes, pour réduire les symptômes de la maladie de Parkinson notamment. Benabid, plus médaillé et distingué qu’une mule espagnole, fait figure d’autorité internationale et jouit localement d’une pieuse reconnaissance.

En dépit de nos recherches, nous n’avons trouvé nulle trace, en 30 ans, d’une alerte du professeur Benabid sur les dangers des substances neurotoxiques. Devant pareille catastrophe, un médecin aurait hurlé, publié des tribunes dans la presse, interpellé les pouvoirs publics pour stopper la contamination du milieu et l’intoxication de millions de cerveaux. Mais Benabid est membre de l’Académie des Sciences, Prix d’honneur de l’Inserm, chevalier de la Légion d’honneur. Il comprend les intérêts de l’industrie, puisqu’il collabore avec un groupe américain pour vendre « ses » kits de stimulation. Et il a une carrière d’innovateur à valoriser. Que deviendraient ses électrodes et sa notoriété sans l’afflux croissant de malades de Parkinson, sans la menace qui pèse sur chacun de nous et nous précipite dans les bras des sauveurs high tech ? Aussi le « modeste » professeur, selon l’hagiographie officielle, s’est-il toujours prudemment tu, laissant agir les progrès de l’empoisonnement.

Lucrative sagesse. La nouvelle révolution industrielle des nanotechnologies, et la convergence des nanos avec les biotechnologies, l’informatique et les sciences cognitives, ouvrent de fabuleuses perspectives en matière d’implants cérébraux. Imaginez ! comme dirait Antoine Conjard : avec de minuscules implants électroniques dans le cerveau, on peut désormais modifier les comportements, corriger l’anorexie, la boulimie, les TOC, la dépression, les addictions. On peut réguler notre humeur en envoyant la bonne fréquence au bon endroit, comme le faisait, en
moins subtil, le prédécesseur de Benabid : José Delgado. Ce physiologiste de l’université de Yale, qui dans les années 1960 transformait des singes, des chats, et des humains, en jouets télécommandés, via un stimulateur cérébral.

On travaille déjà sur les implants à Clinatec, clinique expérimentale du cerveau initiée clandestinement en 2006 et qui ouvre officiellement ses portes ces jours-ci, tandis que l’on balade les Grenoblois aux « Rencontres i ». À Clinatec, on travaille aussi aux prothèses électroniques permettant de relier le cerveau à l’ordinateur. Des interfaces homme-machine qui préfigurent le cyborg, et ouvrent la voie à la possession de notre for intérieur par une volonté extérieure - à la société de contrainte. En attendant le post-humain, cet être hybride aux performances «augmentées » par ses implants électroniques, les neurotechnologues perfectionnent l’hommemachine, plus adapté au monde-machine, à la « planète intelligente » d’IBM truffée de capteurs et de puces RFID pour gérer intégralement nos vies.

Tout ceci, nous l’avons exposé en détail dans notre enquête, Clinatec : le laboratoire de la contrainte, publiée le 1er septembre 2011 sur www.piecesetmaindoeuvre.com. Vous pouvez savoir ce que concoctent les technarques dans les laboratoires que vous financez par vos impôts. Il suffit de lire. De se renseigner. De penser, tant que c’est encore possible, par nous-mêmes.

Mais peut-être préférez-vous les divertissements, tel ce « feu d’artifice du nanomonde » offert en inauguration des « Rencontres i », ou ce « iSofa, canapé interactif pour jeux télévisés », exposé à Minatec à l’occasion de cette grande foire à l’innovation ? Vous ne pouvez faire plus plaisir au CEA, à Minatec, à la plate-forme chimique du Pont-de-Claix, à GIANT et autres partenaires de l’événement, qui paient pour s’offrir votre temps de cerveau disponible.

Pièces et main d’oeuvre
Grenoble, le 28 septembre 2011


1 Rencontres parlementaires sur les nanotechnologies, 28 novembre 2006
2 E. Bernays, Propaganda, comment manipuler l’opinion en démocratie. Réédition 2007 La Découverte
3 Cf. Les rats de l’art, Pièces et main d’oeuvre, février 2011, sur www.piecesetmaindoeuvre.com
4 Les sources des études sont livrées par M. Grosman et R. Lenglet dans Menace sur nos neurones (Actes Sud, 2011)


Et voici quelques citations que je trouve très justes, qui viennent de ce site : http://moinscplus.blogspot.com/


"C’est par la sobriété que nous pouvons couper les vivres à ceux qui profitent de nos excès"
Pierre Rabhi

"Vivre plus simplement pour que d’autres puissent tout simplement vivre"
Mahatma Ghandi

"Chez les êtres humains, face à la mort, les deux passions les plus fortes ne sont pas la richesse et la puissance, mais le sens (et la connaissance) et l’amour (ou la reconnaissance)"
Patrick Viveret

"Un homme qui n'est pas informé est un sujet, un homme informé est un citoyen"
Alfred Sauvy

"Qui veut faire quelque chose trouve un moyen. Qui ne veut rien faire trouve une excuse"
Proverbe arabe

"Nous ne résoudrons pas les problèmes avec les modes de pensée qui les ont engendrés"
Albert Einstein


Fouillez, vous dis-je !

Des films pour la décroissance


Un régal, vous dis-je. Comment se fait-il que personne parmi mes amies-araignées ne m'a parlé de ces gens-là ? C'est encore mieux que tout ce que j'ai trouvé jusqu'à maintenant.


"Objecteur de Croissance" sur le Net, et tout un domaine inespéré s'ouvre devant vous.

"Les gens sans imagination ont besoin que les autres mènent une vie régulière"
Boris Vian

Je crois que je vais vous laisser chercher, chercher, chercher, et trouver votre bonheur pour notre plus grand bonheur.

http://utopimages.org/

"Quand bien même la Terre serait illimitée, nous serions contre la croissance, parce qu’elle détruit l’humain en nous, parce qu’elle détruit la beauté." Citation


Prendre nos vies en main, chacun à sa mesure, ne permettre à personne de décider à notre place. Nous le faisons, bien sûr, avec plus ou moins de bonheur, sinon nous ne serions pas sur ce blog, mais là, nous avons de nouveaux outils, à prendre dans nos mains pour façonner nos vies, avec nos réseaux sociaux. Tant de documents à méditer, c'est un plaisir.

Leur monde actuel n'est pas forcément le nôtre, mais une réflexion utile (et une action utile) peut se faire.

J'ignore quand je vais revenir, nous avons du pain sur la planche et moi aussi avec toutes les lectures à faire et rencontrer les personnes, provoquer les rencontres. Vous aviez d'ailleurs remarqué que je m'absentais régulièrement.

Scéliphron va me faire revenir dès que possible car je n'ai pas terminé le postage, d'autres insectes aussi, sans doute. Et peut-être quelques autres nouvelles.

Sur ce, je vous souhaite de profiter au maximum de cette arrière-saison très agréable depuis quelques jours. Portez-vous bien.

dimanche 2 octobre 2011

L'autre génocide ...


Je suis vraiment désolée de n'avoir pas lu le programme TV avant.


Ce soir, sur la 5, de 22h à 23h10, il ne faut pas passer à côté de cette émission.


telerama.fr

Mémoires tsiganes,
l'autre génocide

Synopsis :

Le génocide des Sinti et des Roms demeure un holocauste oublié et encore largement ignoré et peu étudié. D'abord dénombrés, puis fichés au début du XXe siècle, les Tziganes d'Europe sont ensuite persécutés pendant la Seconde Guerre mondiale de la manière la plus radicale qui soit par les nazis et leurs alliés européens. A travers la parole des derniers survivants et des archives inédites, ce documentaire ébauche la reconstitution du long processus d'anéantissement de l'un des plus vieux peuples d'Europe. Il s'interroge également sur les répercussions de cette barbarie aujourd'hui sur les politiques européennes.

La critique TV de Télérama

Sans doute le génocide tsigane est-il non un « holocauste oublié », pour reprendre l'expression des réalisatrices, mais un traumatisme trop longtemps minoré - l'Allemagne a attendu 1982 pour le reconnaître - et rarement évoqué dans sa complexité. On estime que de 40 % à 90 % des Tsiganes ont disparu entre 1938 et 1945, selon les régions. Qu'il s'agisse de Roms, de Sintis, de Manouches ou de populations sédentaires (contrairement aux clichés) et enracinées dans l'Europe, elles furent considérées comme peuples de « bâtards raciaux », « asociaux », « indésirables » par le régime nazi.

Ce documentaire leur rend hommage à sa façon, en racontant avec pédagogie leur progressive mise au ban, jusqu'à leur extermination. Fichage nécessaire pour circuler, expulsions - la résonance avec l'actualité est suggérée plus qu'assénée -, puis stérilisations de masse, emprisonnement, déportation. D'un pays à l'autre, les modalités sont différentes (exécutions sommaires, travaux forcés, expérimentations scientifiques sur les enfants...). Ce film les décrit avec patience et rigueur, de la France à la Moravie, interrogeant des survivants (Tchèques, Ukrainiens, Français ou Allemands) qui témoignent de la vie dans les camps et livrent chacun une parcelle de l'Histoire.

__________________


Ces personnes qui ne sont toujours pas considérées comme des citoyens à part entière, comme d'autres d'ailleurs, sont toujours rejetées, soupçonnées, quand bien même elles vivent comme "nous" les sédentaires.

Les "voleurs de poules".

Cela me remet en mémoire des amies gitanes qui vivent dans une maison en bonne et due forme, et que j'ai invitées un jour, à la maison. Arrivée dans l'entrée commune, elles sont restées en arrière, comme empêchées d'avancer. Je ne comprenais pas pourquoi elles n'avançaient plus et se regardaient d'un air ahuri.

Et je les ai entendues se dire : "Elle ne sait pas que nous sommes des voleurs de poules ?"

J'ai fait comme si je n'avais pas entendu puisqu'elles ne me parlaient pas directement, et les invitées à entrer en insistant.

Comme je n'ai pas de poules chez moi puisque je vis en ville,je ne risque rien.

J'aimerais poser une question aux visiteurs de ce blog que je ne connais pas et qui auraient des pensées ou des actes mauvais envers ceux qu'ils ne connaissent même pas :

Si on vous obligeait à vivre près de voies ferrées, sans obstacle conséquent pour filtrer le bruit des trains ; Si on vous obligeait à vivre près des routes, alors que vous avez des enfants qui ne comprennent pas forcément les dangers de la route ; Si on vous obligeait à aller signer le registre à la Gendarmerie à chaque déplacement, alors que vous n'avez aucun délit à votre charge ; Si on vous obligeait par diverses pressions, à vivre en sédentaire alors que vous avez besoin de vivre aussi libre que possible, comme un poisson a un besoin vital de l'eau pour vivre ; Si le fait d'être des "romanichels", des "gitans", (puisque nous employons ce vocabulaire dans le langage courant sans savoir ce qu'il y a derrière) bien que Français, vous fait rater bien des emplois car on se méfie de vous.

Alors ne pensez-vous pas que vous pourriez ressentir de la colère ? Et la colère peut amener à des gestes regrettables et condamnables.

Au fait, les amis, pensez que le droit de glanage est toujours en vigueur. Les vergers ont pas mal de fruits qui s’abîment au sol en ce moment, alors n'hésitez pas à faire valoir ce droit.

Quand on rejette les gens sans raison valable, globalement, sans distinction de la personne, il ne faut pas s'étonner s'il y a des débordements. Et ils sont rares, ces débordements.

J'entends souvent les sédentaires jalouser les "romanichels" car ils ont des caravanes de luxe et qu'ils en changent régulièrement. Vers chez moi, je ne vois que des fourgons, des caravanes, des plus simples, des plus sobres. Sur les routes, parfois, très rarement, ces caravanes de luxe. Alors on jalouse quoi, qui, exactement ?

J'aimerais que ce film de ce soir, comme le film LIBERTE de Tony Gatlif http://www.ugcdistribution.fr/liberte/ dont j'ai parlé l'an dernier, nous fasse mieux connaître ces gens que nous rejetons.


samedi 1 octobre 2011

Naissance d'un humain sous le regard ...


D'abord une très belle vidéo pour nous changer les idées. C'est celle qui est incluse à la Source de cet article que je vous copie-colle.




C'est tellement beau ! Et nous avons tellement besoin de quelque chose de beau en ces périodes si troublées.

Il y a vraiment un choix à faire. Allez lire ici http://www.urantia-gaia.info/2011/06/19/depuis-fukushima-la-boite-de-pandore-est-ouverte car vous y avez plusieurs infos que je vous relayais aussi, et nous les avons toutes réunies en un seul article avec des liens pour aller lire ailleurs. Ca nous fera une petite révision et fera comprendre la nécessité de se tenir prêt. Intérieurement prêt, résolument prêt, et à travailler sur nous pour conserver ou rétablir des vibrations élevées.


Et maintenant je vous relaie l'article en question.

http://www.urantia-gaia.info/2011/07/30/naissance-dun-humain-sous-le-regard-dun-dauphin/


Naissance d’un humain sous le regard d’un dauphin

Publié le 30 juillet 2011 par Le Passeur

Via le blog de Rusty James.


Un Russe du nom d’Igor Charkovsky s’est spécialisé depuis longtemps dans l’accouchement de bébés humains sous l’eau. Il a probablement assisté à quelques 20.000 naissances sous l’eau.

Sa fille, qui fut un des premiers nouveau-nés à venir au monde ainsi, avait alors un peu plus de vingt ans, si je me souviens bien, lorsque l’incident suivant se produisit.

Charkovsky et son équipe avaient emmené une femme au bord de la mer Noire afin qu’elle puisse accoucher de cette manière. Ils étaient tous assis dans l’eau et se préparaient pour la naissance de l’enfant, la femme enceinte étendue de tout son long dans une section du bassin qui avait environ soixante-dix centimètres de profondeur.

Si je me rappelle bien, trois dauphins s’approchèrent soudain du groupe, repoussèrent tout le monde jusqu’au fond du bassin, sauf la future maman, et prirent résolument la direction des opérations.

Ils vinrent d’abord tout près de la patiente et commencèrent à effectuer ce qui semblait être un massage au sonar, de haut en bas et de bas en haut du corps ce dont j’ai moi-même fait l’expérience et qui apporte un très grand bienfait au système humain. À la suite de cela, la femme mit au monde son enfant sous l’eau pour ainsi dire sans douleur et sans peur.

Ce fut une expérience phénoménale pour tout le monde. Elle donna d’ailleurs lieu à une nouvelle pratique consistant à utiliser des dauphins en guise de sages-femmes, pratique maintenant adoptée un peu partout dans le monde.

Quelque chose ayant trait au sonar que les dauphins projettent au moment de l’accouchement semble relaxer profondément la mère.


Ici se place la vidéo que j'ai mise avant.


Les dauphins manifestent des préférences au sujet des humains.

Ce n’est pas une règle absolue mais si vous allez nager avec des dauphins et qu’il y a des enfants avec vous, les dauphins les abordent d’abord. S’il n’y en a pas, ils vont alors vers les femmes et s’il n’y en a pas non plus, ils rejoignent finalement les hommes. Mais s’il y a une femme enceinte dans le groupe, alors tout le monde peut aller se rhabiller car elle attire totalement leur attention.

Le petit bébé qui va naître est ce qu’il y a de plus important à leurs yeux. Les dauphins deviennent très excités lorsqu’ils voient un être humain donner naissance. Ils adorent cela, c’est certain.

Ces mammifères peuvent tous faire des choses ahurissantes. Les enfants nés dans l’eau avec pour sages-femmes des dauphins, du moins tel que cela se fait en Russie, sont tous des enfants extraordinaires. D’après tout ce que j’ai pu lire sur le sujet jusqu’à maintenant, pas un de ces enfants n’a un quotient intellectuel inférieur à 150 et ils ont tous un corps émotionnel extrêmement stable et avec un corps physique incroyablement résistant. D’une manière ou d’une autre, ils semblent très supérieurs aux enfants habituels.

L’accouchement dans l’eau se pratique aussi en France, on en a déjà fait plus de 20.000. Les femmes donnent naissance dans de grandes baignoires.

Au début, les médecins avaient étalé tous leurs instruments sur des tables, et tous les moyens de secours étaient en place, chacun étant prêt à intervenir en cas de complications, mais il n’y eut aucun problème. D’une année à l’autre, tout se passa très bien jusqu’à ce que finalement 20.000 naissances aient eu lieu sans une seule complication ! De nos jours, les instruments et tout l’équipement sont relégués dans un coin du lieu où se font les accouchements, tout simplement parce qu’il n’y a toujours aucun problème.

Je ne sais pas si les spécialistes savent pourquoi au juste, mais pour quelque raison inconnue, quand une femme enceinte flotte dans de l’eau, il semble que toutes les complications de l’accouchement se résolvent d’elles-mêmes.

J’ai eu l’opportunité de passer quelque temps avec une femme qui fut l’assistante de Charkovsky en Russie. Elle avait ramené avec elle plusieurs films pris pendant les accouchements. Je visionnai deux de ces films, chacun portant sur une femme différente donnant naissance à son enfant sous l’eau. Non seulement ces deux femmes n’avaient éprouvé aucune douleur, mais elles avaient eu de multiples orgasmes pendant la naissance de leur enfant de longs orgasmes durant jusqu’à vingt minutes d’affilée. Leur plaisir était total. Je sais que c’est comme cela que les choses devraient être pour tout le monde. C’est tout à fait logique et ces femmes nous le prouvaient.

J’ai aussi vu des films russes sur des bébés de deux ou trois ans et des enfants en bas âge, mais un peu plus vieux, qui dormaient au fond de piscines. Ils dormaient littéralement à poings fermés, mais sous l’eau tout au fond du bassin, et toutes les dix minutes ils remontaient à la surface, apparemment toujours endormis, roulaient leur corps de manière que leur visage soit à l’air libre, expiraient puis inspiraient à nouveau de l’air frais, après quoi leur corps coulait et allait se poser au fond du bassin.

Ces enfants vivent donc sous l’eau l’élément liquide est leur patrie. On leur a d’ailleurs donné un nom, pour ainsi dire, comme s’il s’agissait d’une nouvelle espèce. On les appelle les homodolphinus. Il semblerait qu’il s’agisse d’un mélange d’humains et de dauphins. L’eau devient leur milieu naturel et ils sont extrêmement intelligents.

Source originale http://rustyjames.canalblog.com/archives/2011/04/14/20894641.html

Vu sur la Presse Galactique http://www.lapressegalactique.com

Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source)

Je me suis régalée à leur lecture. On en pensera ce qu'on veut, chacun à son niveau d'évolution et de vibrations. Moi-même n'ai pas adhéré à toutes mes lectures, mais en grande partie, oui.