Au fait, avez-vous préparé vos abris de poche anti-nucléaire pour vous affirmer en tant que refusant le nucléaire "ZERO NUCLEAIRE" sans retour pour autant à la bougie ?
Regardez plus bas sur la page, vous allez trouver, pour ceux qui ont pris du retard dans la lecture de ce blog : http://spidermarrante.blogspot.com/2011/04/preparons-le-26-avril.html
Voici une utilisation bien pratique. Vous collez votre image sur un sac en toile et vous pouvez l'emmener partout avec vous !
Je vous suggère d'aller visiter ce site très intéressant sur l'actualité nucléaire, et de lire cette page en particulier, sur les rejets radioactifs des centrales nucléaires : http://www.villesurterre.com/index.php?option=com_content&task=view&id=31&Itemid=118 à rajouter à votre liste de favoris.
Malheureusement, on risque fort de parler encore longtemps de cette radioactivité qui va nous pourrir la vie et qui la pourrit déjà dans bien des lieux fragilisés, au niveau des centrales comme au niveau des déchets.
Le monde est en train de changer de bases.
Alors, vivons et n'oublions pas d'ouvrir les yeux
SI NOS GOUVERNANTS CHOISISSAIENT
LA VIE, CE NE SERAIT PAS MIEUX ?
Alors refusons de voter pour des pro-nucléaires ou pour ceux qui parlent d'une sortie dans 10, 20 ou 30 ans ! Car depuis qu'on en parle, les 10, 20 ou 30 ans sont déjà passés.LA VIE, CE NE SERAIT PAS MIEUX ?
Voici ce qu'en dit ce site que je vous invite aussi à mettre dans vos favoris :
http://observ.nucleaire.free.fr/5-plans-fermeture-reacteurs-francais.htm
Pour l'Observatoire du nucléaire, il est indispensable que la sortie du nucléaire soit d'abord décidée, et qu'ensuite les décisions appropriées soient prises pour assurer la production électrique nécessaire aux ménages et à l'économie, en éliminant de fait au passage les gigantesques gaspillages qui ont lieu en France.
Si c'est l'inverse qui est décidé, à savoir essayer de développer les alternatives et ne sortir du nucléaire que "lorsque la situation le permettra", il est évident que les efforts nécessaires ne seront pas faits, que la sortie du nucléaire ne sera pas au rendez-vous, et que la France sera de fait condamnée à subir une catastrophe nucléaire.
La majeure partie du parc nucléaire français a été construite en moins de 10 ans, il est donc possible de faire le chemin inverse en moins de 10 ans, à condition de faire preuve pour sortir du nucléaire du même volontarisme que celui qui a été de mise pour imposer l'atome en France.
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