Cela se passe en Belgique, tout près de chez nous, à l'exemple des Pays-Bas, mais on y rajoute une couche. De couche en couche, on va bien arriver au même résultat que les nazis.
Je cite : " La nouveauté belge consiste à vouloir franchir les étapes du voisin néerlandais mais d'y ajouter des personnes dont l'intelligence-même est affectée, et qui n'ont donc pas du tout la capacité de juger en pleine liberté et connaissance de cause. Contredisant directement la formulation actuelle de la loi belge qui exige cette capacité pour agréer une demande d'euthanasie. "
8 mai 2012
http://leblogdejeannesmits.blogspot.ca/2012/05/belgique-euthanasie-pour-les-mineurs-et.html
21 avril 2012
http://leblogdejeannesmits.blogspot.fr/2012/04/euthanasie-en-belgique-on-voudrait-la.html
C'est curieux qu'on n'en parle pas davantage de ces propositions de loi alors même que c'est déjà légal aux Pays-Bas ?
Soyons vigilants en France.
Je cite : " On lui (Jacinta De Roeck) a bien sûr opposé l'exemple de l'époque nazie. Et elle avoue que l'affaire est délicate. « A cette époque-là on utilisait aussi le mot “euthanasie”, mais les gens qu'on tuait à cette époque-là n'étaient pas demandeurs. C'est une grande différence. »
Comment peut-on être certain qu'un gosse de 7 ou 10 ans, va savoir les enjeux de sa mise à mort ? Qu'il désire ne plus vivre l'ostracisme, ou dans une souffrance, oui, je peux comprendre, mais la mort, c'est autre chose. La mort, c'est définitif pour la vie sur cette Terre. C'est une vie qui est arrachée à la normalité de la vie.
Comment peut-on décréter qu'une personne incapable de donner son consentement et pour qui on va décider pour elle, n'a pas en elle le désir de vivre, même si elle ne peut pas l'exprimer ?
Je cite : " Il s'agit plutôt d'un lent mais inexorable glissement dans la logique de l'euthanasie légale : on vise à l'ouvrir progressivement à des enfants, des personnes privées de jugement, voire des personnes inconscientes, alors qu'au départ tout le monde assurait qu'elle était acceptable dans la mesure où elle serait pratiquée uniquement sur des personnes qui en feraient la demande en pleine possession de leurs moyens. "
Nous avons tous un rôle à jouer sur cette Terre puisque nous y sommes venus. Qui a le droit de décider pour l'autre ? Personne !
Cela va tout à fait dans le sens de ce que j'ai posté tout à l'heure sur le "cri silencieux". Où est le consentement dans ces morts ordonnées ?
Comme il est dit sur le blog de Jeanne Smits : Au XXIe siècle, on saura bien les persuader qu'ils ont envie de mourir !
Franchement, j'aurais préféré ne pas être au courant de ces meurtres ordonnés. Mais puisque maintenant je le suis, impossible de garder le silence.
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