Les connexions pornos à l'Assemblée, c'est fini
POLITIQUE - Depuis le 20 janvier, un système de filtrage empêche les députés de surfer sur ces sites...
Sacré coïncidence. L'Assemblée nationale a récemment mis en place «un mécanisme de filtrage» empêchant toute connexion dans son enceinte aux sites internet «pornographiques et pédophiles», a révélé le site Bakchich.info.
Alors que mardi, les députés se prononçaient justement pour un filtrage par les fournisseurs d'accès des sites internet à caractère pédopornographique, dans le cadre de l'adoption en première lecture du projet de loi d'orientation et de programmation pour la sécurité intérieure (Loppsi 2).
Appliqué depuis le 20 janvier
Dans une note publiée sur le site intranet du Palais-Bourbon, on peut lire que «Mme et MM. les questeurs ont décidé de mettre en place un mécanisme de filtrage des sites internet illicites et controversés», cette décision étant «appliquée à compter du 20 janvier 2010».
«Le dispositif de filtrage vise à empêcher toute connexion aux sites pornographiques, pédophiles, ainsi qu'à des sites susceptibles de propager certains virus», poursuit la note en précisant que «pour des raisons techniques, une trace de ces connexions est conservée pendant 24 heures».
Pas totalement efficace
Selon Bakchich, le dispositif mis en place «est loin de prouver son entière efficacité», quelques clics suffisant à accéder quand même à des sites pornographiques. Reste à savoir qui se connectait depuis l’Assemblée nationale sur des sites porno?
Avec agence
Bien, si après ça nous votons encore et encore, c'est qu'on ne peut plus rien pour nous car les agissements de certains de ceux qui nous représentent sont légion et font vomir.
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