mardi 30 mars 2010
Cruauté envers animaux
Danemark : une journaliste disculpée du meurtre de douze poissons
Une journaliste condamnée en première instance pour le meurtre de douze poissons dans le cadre d’une émission visant à démontrer la dangerosité des produits de beauté comme les shampoings a été disculpée vendredi 26 mars.
En 2004, Lisbeth Koelster verse un échantillon de shampoing dilué dans un aquarium pour les besoins de l’émission Kontant (émission de défense des consommateurs). Sur les treize poissons de l’aquarium, douze meurent dans les trois jours suivant l’expérience, prouvant la toxicité du produit. Dès lors, un vétérinaire porte plainte contre elle, l’accusant d’avoir fait souffrir inutilement des poissons, et l'accusant également d'avoir violé les lois sur la protection et sur l’expérimentation des animaux, explique l’AFP. En 2009, la journaliste est jugée et reconnue coupable pour ces accusations, sans pour autant écoper de sanctions.
La journaliste décide alors de faire appel, demande sa disculpation, chose qu’elle vient d’obtenir de la part des juges de la Cour d’appel. Ces derniers ont estimé qu’il n’y avait pas de preuve réelle que Lisbeth a souhaité occasionner de la souffrance aux animaux. La journaliste confie à l’AFP : « C’est une grande victoire pour la liberté de travail des journalistes. Je n’ai pas été un bourreau de poissons et je n’ai pas violé les règles de protection des animaux comme le souligne le jugement ».
zigonet.com
Ben voyons !
Il est évident que les poissons raffolent du shampoing dans l'eau de leur aquarium.
Le shampoing, dans n'importe quelle eau, est un élément tout à fait adapté pour ce qui vit, tout le monde sait cela.
D'ailleurs, aucun puits, aucune rivière, ni aucun lac, ni aucun océan n'est pollué par la faute d'inconscients ou criminels de ce genre !
Parce qu'en plus elle est fière de son crime !
La journaliste décide alors de faire appel, demande sa disculpation, chose qu’elle vient d’obtenir de la part des juges de la Cour d’appel. Ces derniers ont estimé qu’il n’y avait pas de preuve réelle que Lisbeth a souhaité occasionner de la souffrance aux animaux. La journaliste confie à l’AFP : « C’est une grande victoire pour la liberté de travail des journalistes. Je n’ai pas été un bourreau de poissons et je n’ai pas violé les règles de protection des animaux comme le souligne le jugement ».
Ce qui pourrait ouvrir la porte à n'importe quelle dérive pour des raisons de "liberté de travail des journalistes".
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