mercredi 2 juin 2010

Êtes-vous en harmonie sur un projet ?



Voici un test que je n'ai jamais essayé, mais sait-on jamais ?

Il faut être deux pour faire ce test.




Voici une façon de tester si notre tête, notre cœur, notre volonté et notre pouvoir sont alignés par rapport à une intention ou un projet. Ce test se fait en utilisant un truc de kinésiologie. L'idée est que le corps ne ment pas. Il s'agit aussi d'une méthode pour travailler nos réticences face à notre projet.

Choisissez une question à tester : par exemple « Est-ce que j’ai envie de retrouver la santé (ou du travail, ou un amourreux, etc...) dans les prochains six mois ? »

La personne testée a le bras droit étendu à la hauteur de l’épaule.

Vous lui demandez son prénom avec la consigne de d’abord répondre son vrai nom et ensuite un faux nom.

Dans un premier temps on demande son vrai nom. Vous testez immédiatement en appuyant sur son poignet de façon à déterminer si le bras baisse ou s’il se maintient. En principe, son bras ne devrait pas bouger beaucoup.

Ensuite, vous lui redemandez son nom. Vous testez immédiatement après, le bras devrait descendre un peu. Retenez bien la différence entre les deux réactions.

Puis vous allez tester avec les énoncés suivants :

1) Je pense que je veux
2) Je ressens que je veux
3) Je pense que je peux
4) Je ressens que je peux

Ex : la personne testée dit « Je pense que je veux retrouver la santé (ou du travail, ou un amourreux, etc...) dans les prochains six mois », on teste immédiatement, si le bras demeure tendu c’est "oui", s’il baisse c’est "non".

On recommence pour chacun des énoncés.

Les énoncés 1 et 3 concernent la tête, qui contribue à 20% à la réussite.
Les énoncés 2 et 4 font appel au cœur qui assure 80% de la réussite

Les énoncés 1 et 2 font appel au vouloir, les énoncés 3 et 4 au pouvoir.

Pour être aligné dans un projet, il est essentiel de répondre OUI à chaque énoncé. On doit tester les 4 énoncés avant de passer à l’étape suivante.

NB : si les quatre énoncés disent NON, il vaut mieux abandonner l’idée pour le moment.

Après avoir repéré les NON, on pourrait, par exemple, demander « Qu’est-ce qui t’empêche de penser que tu veux retrouver la santé (ou du travail, ou un amourreux, etc...) dans les prochains six mois ? »

Si la personne dit « je ne me sens pas prête », ce n’est pas assez précis, demandez pourquoi, car il faut obtenir une réponse précise.

Ensuite tester la réponse.

Est-ce que c’est (énoncer la réponse) qui t’empêche de penser que tu veux retrouver la santé (ou du travail, ou un amourreux, etc...) dans les six mois?

Lorsque vous avez trouvé une réponse testée OUI. Demandez ce que la personne pourrait faire pour changer cela ?

Puis demandez à la personne à quoi elle s’engage dans les 24 heures pour changer les choses. La personne doit dire : Je m’engage à ….

Tester les énoncés qui donnaient NON, pour vérifier s’ils disent OUI. Et travailler ceux qui disent NON encore.


On peut aussi apprendre à se connaître en manipulant les baguettes du Yi-King. Et dans ce cas, on peut très bien le faire seul.

Ou apprendre à se connaître grâce à une bonne introspection.

En fait, plein de moyens sont à notre disposition, et notamment être franc avec nous-même.

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